• Les troubles spécifiques des apprentissages

    Intervenant : David Le Mentec

    (Conseiller pédagogique/circonscription de Quimper/ASH Handicap)

    Généralités

    Selon la Fédération française des Dys (FFDYS), il y a :

    6 à 8 % de la population souffre d’un trouble dys

    4 à 5% des élèves d’une classe d’âge ont une dyslexie

    3% des élèves d’une classe d’âge ont une dyspraxie

    2% des élèves d’une classe d’âge ont une dysphasie

    Soit entre 1 et 2 élève par classe atteint d’un trouble dys.

    Il y a différents troubles : les troubles auditifs, moteurs, de langage/de la parole, intellectuels et cognitifs (retard mental), psychiques, visuels, des troubles associés, viscéraux…et autres.

    Un enfant nait dyslexique

    Le trouble neurologique arrive quand l’enfant grandit mais c’était latent depuis la naissance.

    Les troubles dys sont des troubles cognitifs durables qui regroupent des dysfonctionnements de certaines fonctions cognitives du cerveau sans déficience intellectuelle globale.

    La notion de double tâche : si on demande à un dyspraxique d’écrire : toutes ses autres fonctions cognitives s’effondrent (fonction exécutive/visu spatiale/praxique/mnosique…).

     

    Les fonctions langagières

    Le double pôle « réceptif/expressif » assure une compréhension et une expression orale et écrite.

    Les troubles du langage oral sont des troubles primaires et les troubles du langage écrit sont des troubles secondaires d’activité culturelle.

     

    Les troubles du langage oral

     

    La dysphasie

    Profil scolaire d’un enfant dysphasique :

    -difficilement compréhensible mais qui manifeste un grand désir de communiquer

    -cherche à intervenir par le regard, les mimiques ou les gestes.

    -met souvent beaucoup d’efforts dans l’exécution d’une tâche et réussit si cette tâche ne requiert pas le langage

    -peu de relations sociales

    LANGAGE ORAL

    LANGAGE ECRIT

    Environnement/accessibilité

     

    Limiter la quantité d’oral

    Limiter la quantité d’écrit

    Utiliser des supports de communication visuels

    Fournir des supports aménagés

    Utiliser du matériel adapté

    Utiliser du matériel adapté

    Enrichissement de l’oral et/ou des méthodes de communication alternative

    Expliciter les codes des écrits au niveau du phonème et au niveau de la syllabe

    Compenser le handicap

    Fournir des modèles pour inciter le langage

     


      

    Incitation

    Faire produire à l’élève un mot ou une phrase par choix (tu veux 1 feuille blanche ?1feuille jaune ?)

    Ebauche orale

    Donner le début du mot ou de la phrase à l’élève et lui donne la fin.

    Auto verbalisation 

    Commenter ce que l’enseignant fait ou voit (il/elle tient le livre bleu…)

    Verbalisation parallèle

    Commenter ce que l’élève fait ou voit (tu as pris ton stylo vert...)

    Reformulation

    Redire la phrase de l’élève en corrigeant ses erreurs. Ne pas le faire répéter mais plutôt l’aider à préciser sa pensée !

    Allongement

    Ajouter un nouveau mot ou une nouvelle idée à la phrase de l’élève.

    Favoriser la communication alternative

    Méthode Makaton (code gestuel et pictogrammes)

    Méthode PECS (pictogrammes) (système de communication par échange d’images).


     

    Les troubles du langage écrit

    La dyslexie est un problème de réception

    La dysgraphie et la dysorthographie sont des problèmes de production

    La dyscalculie est 1 problème de compréhension de la notion des nombres.

     

    La dyslexie.

    Une enfant dyslexique a plusieurs millions de neurones supplémentaires.

    Le langage se développe dans 2 parties du cerveau mais pas activement.

    Quand un enfant dyslexique regarde 1 texte c’est comme s’il regardait une image ou 1 dessin

    Un enfant dyslexique a une augmentation de la taille du corps calleux

    Un vrai dyslexique

    - présente un niveau intellectuel normal

    -sans trouble sensoriel ou perceptif

    -sans trouble psychologique

    -ayant été normalement scolarisé

    -évoluant dans un milieu familial, affectif, social et culturel suffisamment stimulant 

    Difficulté de lecture = Retard ±2ans

    Dès l’âge de 3 ans un test de dépistage est possible (questionnaire Chevrie-Muller)

    Les dyslexiques sont en situation permanente de décodage !

    En + son œil balaye le mot des 2 côtés en même temps.

    La dyslexie phonologique= n’a pas le son (utilisation préférentielle du lexique)

    La dyslexie de surface= n’a pas le mot (utilisation préférentielle du décodage)

    La dyslexie phonologique+ La dyslexie de surface=la dyslexie mixte

    (Méthode Caleb Cattegno : lecture en couleur)(Open office : lire couleur)(Éditeur SDvocal : dys-vocal)

    http://stephaxad.over-blog.com/ 

    http://www.arkaline.fr/doku.php?id=logiciels:lirecouleur 

    http://www.microsoft.com/reader/fr/downloads/tts.mspx (Pierre voix française)


     

    Analyser l’action de l’AVS

    Piloter                                                                                                           proximité

    Inconfort                                                                                                       confort

    Éloignement                                                                                                                                                                                               étayer(donner des outils à l’élève pour qu’il s’en sorte seul)

     

     

    La dyspraxie

    C’est un trouble de l’apprentissage visuel.

    Troubles de la coordination.

    La fonction Visio-spatiale permet d’analyser, de comprendre et de coordonner le geste avec la vision dans l’espace.

    Si l’enfant ne peut pas automatiser son graphisme :

    -soit il dessine les lettres =il engage son attention dans le contrôle de son geste  et du coup il progresse

    -soit il écoute, il comprend, il réfléchit à l’orthographe et il s’intéresse au sens.

    Il faut gérer l’espace de travail :

    Donner un repère pour le sens de l’écriture : une bande verte à gauche et une bande rouge à droite (=je démarre au feu vert et je m’arrête au feu rouge).

     


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  • Gestes et positionnement professionnel (niv.2)

     

    Le contrat didactique

    C’est la représentation de ce chacun a pour l’autre au sein de la classe.

     

     

    Notion de compétences

    Le livret de connaissances et de compétences présente ce que l’élève doit savoir et maîtriser à la fin de la scolarité obligatoire.

    Ce socle commun de connaissances et de compétences constitue l’ensemble des connaissances, compétences, valeurs et attitudes nécessaires pour réussir sa scolarité, sa vie d’individu et de futur citoyen.

    Ce livret personnel de compétences permet de suivre la progression de l’élève. (Bulletin officiel du 19/06/2008 pour le cycle 1 et bulletin officiel du 28/08/2008 pour le cycle2).

    Le palier 1 est à la fin du CE1 : six compétences : dire/ lire/ écrire/ étude de la langue/ nombres et calcul/ géométrie.

    Le palier 2 est à l’issu de l’école élémentaire : sept compétences.

    Le palier 3 est à l’issu du collège : si les compétences sont maitrisées l’enfant passe le brevet dans le cas contraire il passe un autre examen.

     

     

    Dans une compétence, il y a 3 éléments :

     

     

    Si l’enfant n’a pas les 3 éléments = il n’a pas acquis la compétence !

    Dans une même compétence il existe différents niveaux de difficultés.

    Une compétence n’est pas définitive quand elle est acquise.

    Attention à « l’effet Topaze » (=faire à la place de l’autre).

    (Voir le film de M.Pagnol)(Site ESEN)

    La notion de compétence est à ambition internationale :

    Le P.I.S.A (program for international student assessment) est un programme international sur le suivi des acquis des élèves.

    150 établissements ont été pris au hasard dans + de 70 pays.

    En France, le résultat est :

    -1 qualité inférieure à la moyenne

                                                   -une des équités les plus basses

                                                   -une faible efficacité

                    -Une efficience moyenne (efficience=la différence entre l’argent que ça coute et le résultat PISA)

    C’est la raison pour laquelle il y a eu l’arrivée des nouveaux programmes en 2008. Les résultats obtenus depuis seront bientôt donnés.

    Performances des élèves selon leur niveau dans l’échelle

     

     

    6

    5

    4

    3

    2

    1

    PISA accepte qu’une aide soit apportée à l’élève.

    Exemple :

    Au niveau 1

    Les élèves appliquent leurs compétences dans des situations complexes de la vie quotidienne ; ils fournissent les explications argumentées et font preuve d’esprit critique.

    Au niveau 3

                    Les élèves appliquent leurs connaissances et leurs capacités.


    Dès la phase 1, on demande d’accomplir une tâche complexe sans aucun étayage.

    Dans la phase 2, on propose à nouveau la même tâche mais cette fois-ci la tâche complexe est découpée en tâches élémentaires dont les consignes sont explicites et qui sont présentées dans l’ordre dans lequel elles doivent être.

     

    L’évaluation des compétences repose essentiellement sur l’observation des élèves en situation de travail et ce dans différentes situations.

    La relation aux apprentissages est favorable.

    Identifier la compétence afin de la valider.

     


     

     

     

    Les outils de l’AVS auprès de l’enfant handicapé

    dans l’environnement scolaire.

     

    (Site eduscol : rubrique scolarisation)

    Selon la théorie des 10 000heures d’Ericsson : le don n’existe pas mais une pratique professionnelle suffisamment longue conduit à l’expertise professionnelle.

    La capacité à faire preuve d’empathie est une compréhension intuitive du monde intérieur de l’autre.

    Dans le cadre d’une relation d’aide, il faut prendre de la distance par rapport à nos propres valeurs.

    Etre empathique ne signifie pas que l’on adhère à ses propos, ni prendre ses craintes pour notre propre compte.

                « si j’étais à sa place, je ressentirais certainement de la colère moi aussi…du chagrin…

                            De la peur… »

     

    Capacité de Holding  (Selon le psychologue Winnicott) :

    Le holding signifie : la façon de porter l’enfant, de l’accompagner non seulement physiquement mais aussi psychologiquement.

    AVS doit lui rendre accessible la réalité de la classe et l’aider à mettre en place des repères.

     

    Capacité d’adaptation aux différents langages (Edouard Hall) :

    Langage direct : en dire beaucoup, donner le maximum d’information, de nombreux messages rapides.

    Langage indirect : en dire peu : les autres n’ont qu’à deviner ce qui est censé être connu. Donner des messages lents.

    Le Langage indirect intègre aussi le langage non verbal, les règles de politesse…

     

    Dans la vie courante :

    Dans un message : 7% mots / 55% mimiques gestes /38% intonations

     

    Les distances :

    L’intime 0-50cm

    Le personnel 50cm-1.20m

    Le social 1.20m-3m

    Le public ≥3m

     

    Le concept du Temps :

    De l’importance est donnée au passé et au futur.

    De l’importance est donnée à l’instant.

                    Le temps d’attente                        la capacité à ne rien faire

                    Le temps de réaction                    le temps entre la consigne et l’exécution

                    Le temps de réalisation                le temps passé à faire

     

    L’observation :

    Pourquoi ?

    = pour comprendre les comportements, les processus cognitifs, l’apprentissage.

    (Livre :Adapter les pratiques pour scolariser tous les élèves)(Grille d’observation disponible sur le site I.A.29 rubrique AVS)(toute l’actualité sur le site :education.gouv.fr)


     

    Le développement psychomoteur de l’enfant.

                                                                                                                  Intervenante :Béatrice Pedreni

     

    Pour aller en SEGPA il faut un QI inférieur à 80.

    La différence est en fonction d’une « norme » avec l’empreinte sociale et culturelle.

    Les sœurs faisaient la classe avant et elles pensaient que les gauchers étaient à exorciser parce qu’ils étaient hantés par le diable.

    Cela n’a changé que dans les années 70, grâce à la médiatisation de plusieurs gauchers doués.

    Il faut relativiser la notion de différence et la notion du handicap.

    Selon l’approche sociologique la moyenne d’âge est :

    0--5/6ans=petite enfance

    5/6--10/11ans=enfance

    10/11--12/13ans=pré-adolescence

    12/13--25ans=adolescence

    25--33ans=jeunes adultes (adulescence)

    33--55/60=adultes

    55/60--75ans=séniors (3ème âge)

    75-80ans=4ème âge

    >90/95ans=5ème âge

    (lire »les conduites à risque » de Le Breton)

    On passe tous par les mêmes stades (étapes) mais chacun va à son rythme !

    Chez certains enfants le développement est homogène mais chez la plupart il est hétérogène.

    La régression est elle-même un développement seulement pas forcément linéaire.

    L’être humain est bio-psycho-socio-affectif

    BIO

    PSYCHO

    SOCIO

    AFFECTIF

    Génétique

    Sommeil

    Alimentation

    Anatomie

    Physiologie(les organes doivent communiquer entre eux)

    Appareils sensoriels (5 sens)

    Neurologie (cerveau)

    L’envie de grandir

    Environnement social et familial

     

    Avoir envie de grandir et laisser grandir !!

    TOUT EST INTER CONNECTE

     

    Les neurones sont des cellules nerveuses. Chacun nait avec 100 000 milliards de neurones et c’est uniquement pendant la grossesse que le stock est renouvelable !

                                                                 langage

    Émoticône: visage
Organigramme : Connecteur: Tête

                                                                                                                                                                       Zone d’inhibition

                                                                                                                                                                                           les règles

                                                           émotion                                                                                                       le règlement

    mémoire

     

     

    La base c’est que la gamme des réflexes est la seule connexion à la naissance.

    Grandir= c’est apprendre à se séparer à faire tout seul=c’est très angoissant pour l’enfant !

    Au fur et à mesure les neurones se connectent les uns aux autres (=connexion synaptique) la base de cette connexion se fait vers 6 ans. Au niveau cognitif, le cerveau n’évolue que jusqu’à l‘âge de 16 ans.

    Le neurotransmetteur est un messager chimique qui fait passer un message une information d’un neurone à l’autre.

    Hyperactif # hypertonique (tonus/énergie)

    Hyperactivité est due à un trouble neurologique qui vient toucher les neurotransmetteurs. Ils vont trop vite ! Même si l’enfant veut rester tranquille un instant, il ne peut pas !!Car ses commandes neurologiques ne le lui permettent pas. A l’adolescence, l’hyperactivité se régule souvent d’elle-même.

     


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  •  

     

    Développement de l’autonomie des élèves

     

    B.E.P= besoins éducatifs particuliers

    A.S.H= adaptation et scolarisation en situation de handicap

    E.S.S=équipe de suivi de scolarisation

     

    Pour un enfant autiste :

    Aucun sens des émotions :

    Prend tout au 1er degré 

    Le monde pour lui est très complexe 

    Il a des angoisses très fortes quasi insupportables

     Un autiste entend tous les bruits multipliés par 7 !!!

     

    Pour un enfant « dys »

     Il faut lever la difficulté à l’apprentissage

    Il a beaucoup de difficulté à automatiser.

    Il arrive à se faire une représentation mentale de ce qu’il veut faire mais la mise en œuvre, la réalisation est très difficile et souvent même impossible.

    Les évaluations ne doivent surtout pas tenir compte de l’orthographe !

     

    Une AVS ne devrait pas être à côté de l’élève constamment

    L’enfant a besoin d’être avec les autres

    Il est tout le temps sous le regard de l’adulte

    De ce fait, il perd le droit de ne pas répondre aux questions, de discuter avec ses voisins…=  il perd son statut d’élève

     


     

    Points de vigilance :

    -l’appartenance au groupe est à privilégier

    -il est important de repérer quand l’enfant en a assez et lui laisser de l’espace

    -faire attention à ce que l’enfant ne devienne pas tyrannique

     

    -se demander ce qu’il faut vraiment faire et intervenir

    -avoir pour but que l’enfant ait la capacité de faire ce qu’il ne pouvait pas avant

    -ne jamais être seul€ avec l’enfant dans une pièce

    -faire attention à : oui l’élève y arrive mais à quel prix ?

     

     

    Le travail de collaboration avec l’enseignant

    Souvent il y a usurpation d’identité !!

     L’enseignant  peut avoir l’impression d’être sous  contrôle permanent !

    AVS n’est pas enseignante ! Elle n’explique pas ! Elle ne doit pas intervenir dans les notions d’apprentissage !

    Quand les parents sont dans le rejet, l’agressivité … c’est qu’ils sont en souffrance face aux difficultés de leur enfant, ils font le deuil de l’enfant parfait !

    AVS doit être présente à ESS pour présenter, expliquer ses actions.

    Le poste d’AVS est à penser essentiellement en termes de gestes et surtout pas en termes d’heures (AVS aide à faire telle ou telle activité dans  telle  ou telle matière…)

    Ce qui est commun à tous les élèves quelque soit le handicap ou les difficultés c’est la grande fatigabilité !!

    Quel que soit le handicap :l’enfant souffre !!

    Les solutions sont tout le temps trouvées grâce à l’observation !

     


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  • Accompagner un élève dans l’enseignement catholique.

     

    Intervenants : Mme Brillant Le Ster et M Lampir

     

    Aide à la scolarisation des élèves en situation de handicap

    AVS= auxiliaire de vie scolaire = assistant d’éducation.

     

    L’enseignement catholique dans le Finistère.

    2812 établissements :

    193 écoles

    48 collèges

    28 lycées d’enseignement général, technologique et professionnel

    5 lycées d’enseignement agricole

    1 école d’ingénieurs (ISEN)

    1 institut supérieur de formation (ISFEC)

    65 078 élèves et étudiants et 6 787 salariés dont 4 677 professeurs titulaires

    Sous contrat d’association avec l’Etat depuis 1959 au service public d’éducation

     (Loi Debré 31/12/1959)

    Par ce contrat, l’Etat reconnait l’Enseignement Catholique comme partenaire à part entière du secteur public.

     

    Les établissements acquièrent :

    Des devoirs :

    Etre ouverts à tous / accepter le contrôle des administrations académiques et financières

    Des droits :

    Rémunération des enseignants par l’Etat/l’Etat et les collectivités locales participent au fonctionnement des classes.

    Dans les établissements privés sous contrat de l’Etat, l’enseignement est soumis au contrôle de l’Etat. Tous les enfants y sont admis quelle que soit leur origine,  quelle que soit leur religion…

    L’école catholique est une structure civile et une communauté chrétienne.

    L’enseignement catholique est ouvert à tous, veut ouvrir un chemin de croissance en Humanité, contribue à ouvrir à la dimension spirituelle de la personne et de l’histoire.

     

     

    Le caractère propre de l’enseignement catholique.

    Viser la qualité à 2 niveaux :

    - développer la valeur de l’enseignement , la compétence de l’enseignement, un bon niveau de réussite scolaire, un souci de promotion culturelle

    -développer un climat d’attention à la personne, à la qualité des relations entre les personnes (enseignants et élèves, élèves entre eux…)

    Pour promouvoir l’ouverture aux plus défavorisés.

    Mener son inventivité, sa recherche pédagogique, ses expériences éducatives au niveau du service de la nation toute entière.

    Projet de l’enseignement catholique.

    Regarder chaque personne comme un être en devenir.

    Travailler en équipe dans une communauté éducative ouverte à tous.

    Enseigner, éduquer et proposer une vision de l’Homme et de l’Humanité à la lumière de l’évangile.

    =un réseau d’établissements ouverts à tous !


     


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